Agaldün
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Les terres sont foulées par nos ancêtres depuis des millénaires. L'histoire s'envole avec le temps, le présent est dur... Qu'adviendra-t-il de nous ?
 
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 À la dérive (suite)

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Wallace D'Arsaffore

Wallace D'Arsaffore


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MessageSujet: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptyDim 29 Aoû - 19:48

Après avoir erré ainsi pendant de nombreuses nuits et journées sur l'océan et avoir ce qui semblerait, échouer au paradis, avec des gens avec des ailes. Le voyage de la plage au village le plus proche était long et très noueux, les sentiers parsemé de noix de coco, avec sa flore exotique, déstabilisait Wallace, qui était déjà au bord de retourner dans un sommeil, mais après un long moment à voyager parmi les côtes, son cheval accompagné de l'ange de l'alcool, sont finalement arrivés au village. Il s'agissait d'un très petit village en amont d'une petite falaise, ce qui permettait une certaine défense contre les envahisseurs et un avantage pour les pêcheurs. Le petit village empestais à plein nez le poisson, les gens étaient habillés en pauvre, en gens, peu heureux, aussi sale que les paysans les plus pauvres d'Hallstat. Cependant, avec la quantité de poisson qu'il y avait sur les rives, Wallace avait peine à croire qu'ils pouvaient être aussi pauvres. Après quelques instants à défiler à travers le village, l'ange et Wallace arrivèrent dans une espèce de petite taverne. Les lieux était crasseux, l'odeur, était mélangé d'alcool et du poisson puant, une soupe au poisson, des plats de crevettes et des tas d'assiettes d'homards, des repas de pauvres.

La battisse, comme tout le village était fait de bois, avec l'humidité, il avait de la petite mousse qui commençais à pousser au bas des lattes de bois. Wallace, toujours le cheval à l'intérieur de la taverne, entendit et vu des gens hors du commun, des gens avec une très petite carrure et des gens avec de longues oreilles et une coloration de cheveux très étrange. Les gens semblaient le dévisager du regard, avec un air qui semblait dire qu'il n'était pas désiré, peut-être c'était à cause de sa taille et son armure endommagé, mais il devait y avoir quelque chose dans son apparence qui déplaisaient aux gens.

La petite taverne était bien éclairée, avec plusieurs torches et bougies qui étaient très bien éparpillées partout, avec des dizaines de tables, petites, mais toutes remplies d'individu étranges, très différent de Wallace, sans oublier qu'à la porte de l'auberge il n'y avait aucun crucifix, mais dans quel endroit, Wallace avait pu bien atterrir ?
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Nytil Ahès
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MessageSujet: Re: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptyLun 30 Aoû - 23:24

Ahès, avait ouvert la marche sur tout le trajet. Tenant la bride du cheval, ce dernier l'avait suivie sans pauser de problème. Suivant d'abord les rivages, puis des routes aux abords desquels la chaleur laissée flotter quelques odeurs sucrées et d'embruns salé. Elle rentra dans la taverne derrière le jeune humain, la bâtisse n'avait pas changé depuis son dernier passage. Une bâtisse, au décore rude et de bois. Ou les odeurs de la mer proche se mélanger à celles de l'alcool, une atmosphère lourde et légèrement enfumée. Les poutres poussiéreuses, semblait soutenir le poids du bâtiment depuis des années, le boit vermoulue, hésité entre la mousse, invitée de l'humidité et la poussière. L'endroit sombre était éclairé par des petites lanternes, où une flamme vacillé derrière une vitre sale, une chemine de pierre, trônait au fond. Pour le reste de la taverne, elle était constituée d'un ensemble de table ronde, carrée, dont les diamètre laissé entendre que l'artiste avez ou du mal dans son métier, ou avait pris une tournée de trop. Des hommes y étaient assis, une bière à la main, dévisagent son invité d'un oeil intriguée, et suspicieux. Le tavernier, avait un regard semblable, essuyant d'un torchon sale, un verre à l'aspect douteux. L'ambiance était en suspend... La jeune Célèste passa devant et saluât les hommes d'un signe de main, d'un regard rapide elle fit comprendre aux hommes que l'inconnu était avec elle. Elle était comme on aurait pu dire une habituée, pas qu'elle aima prendre des plaisirs à la vanité de l'alcool. Mais elle faisait souvent des arrêts dans cette ville, et les hommes avaient fini par lui accorder confiance.
Elle se dirigea vers le tenancier, celui-ci posa son verre sur le comptoir et se pencha.

-Alors, petit minois, on c'est trouvé un p'tit gars ? Je ne savais pas que la mer faisait si bonne pêche.

Un sourire, se dessina sur son visage, sourire jaune, sur un visage sale.

-Vous ne pensez pas si bien dire, servez nous quelque chose à boire et ne lésinez pas sur la quantité.

Il pausa son torchon, et sourit à nouveau :

-Toujours avec ton vous, on n'est pas chez les nobles ici, je suppose qu'il va falloir que je te trouve un verre propre si je veux être payé ?

Cette fois se fut elle qui esquissa un sourire.

- Si ça ne vous fatigue pas trop se sera deux.

L'homme sortit deux verres, d'un placard:

- Allez je vous offre les verres de l'intendant, maintenant qu'il est plus là, faux bien s'en servir! Les cassaient pas il m'en reste que quatre. C'est dommage, ils ont jamais servi, aussi limpide que de l'eau.

- Je penserais en vous ramener de Caedes si vous promettez de les laver.

-Bah nous, on se contenterais des tasse en terre, y a que les nobles et vous autre du ciel à vouloir boire dans de l'invisible, m'enfin ça serait bête de les perdre
c'est comme les coupe en métal, l'or c'est qu'un caillou pour boire du vin. La bière naine, on devrait la boire dans des verres fermés en hauteur aussi non ? d'une couleur spéciale que diriez-vous de vert tien, ou marron. C'est les couleurs de l'argent.

- Un jour peut être...

- je plaisantais, tu as trop la tête dans les nuages toi, ça s'ra tout ?

- Un peu de nourriture je pense aussi.

- Ah ça m'reste des patates et du saumon, je vous fais réchauffer ça!


Elle remercie l'homme et lui tendit une bourse, puis invita le naufragé à s'assoir. Le tavernier apporta de la cervoise naine, et de la bière naine, de l'hydromel elfique dit cadeau de la maison et le repas.

Elle souhaita bon appétit au grand homme, sans rien toucher.

Elle le dévisagea ensuite, puis enchaina:

Escusez-moi, mais vous avez tous les traits d'un être humain, mais pas la taille. Vous m'intriguez, je ne connais pas d'humain aussi grand venant Erayu, ni d'Aorus, de Aluril, Hénéor ou Artor. Même les récit sur Silmorh n'en mentionne pas, alors êtes-vous un humain, ou avez-vous êtes laissé ici par... êtes-vous un fils de Aorus ? Après tout vous sortez de la mer.



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Wallace D'Arsaffore

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MessageSujet: Re: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptyMer 1 Sep - 2:37


Une fois dans la chambre, avec un bon repas, il se sentait déjà un peu mieux, qu'il sauta sur le repas et commença à tout engloutir à une vitesse phénoménale et boire, l'alcool était très étrange par exemple, il ne goûtait en aucun cas l'orge... Il croyait avoir entendu les mots : bière naine, au départ, Wallace pensa qu'il s'agissait de bière dont la taille était naine, mais la bière était géante, avec un goût très puissant, comme un genre d'eau de vie fait avec de la canne à sucre...

Puis, l'ange qui s'est ensuite retournée commençais à dire des trucs pas très clairs qui n'avaient que très peu de sens à la connaissance de Wallace.

<< Excusez-moi, mais vous avez tous les traits d'un être humain, mais pas la taille. Vous m'intriguez, je ne connais pas d'humain aussi grand venant Erayu, ni d'Aorus, de Aluril, Hénéor ou Artor. Même les récit sur Silmorh n'en mentionne pas, alors êtes-vous un humain, ou avez-vous êtes laissé ici par... êtes-vous un fils de Aorus ? Après tout vous sortez de la mer. >>

Erayu, ni d'Aorus, de Aluril, Hénéor ou Artor, pensa-t-il, peut-être c'était des lieux dans ce qui semblait une île, ou un genre de continent. Wallace commença à réfléchir s'il avait entendu parler d'un seul de ces lieux. Aucun de ses lieux n'était dans les environs de Swadia et encore moins dans la région de l'Hallstatt. Il réfléchit encore, plus sa manière de parler ; << ... alors êtes-vous un humain, ou avez-vous êtes laissé ici par... êtes-vous un fils de Aorus ? Après tout vous sortez de la mer...>>

Aorus, serais peut-être une espèce de divinité païenne qui serait à l'origine de l'océan, après tout, peut-être pas un lieu finalement. C'était compliqué tous ses nouveaux mots. Aucun autre humain n'avait pas sa taille, il est vrai que même dans son pays de voir des gens de deux mètres était très rare. Puis cela le frappa que le mot qui clochait dans sa phrase c'était 'autre humain', est-ce que cela veut dire que les gens qui étaient dans le village n'était pas tous humain.

Wallace s'étouffa en songeant à ce délire.

- ... Avant de dire quoi que ce sois. J'aimerais vous remercier jeune demoiselle, je suis messire Wallace, maréchal d'Hal... Ancien fief du seigneur des terres d'Hallstatt. Comme vous avez pu le constater je ne viens pas d'ici. Je n'ai point d'idée du 'où' je me retrouve d'ailleurs... Les mots que vous avez utilisées pour décrire ce que je pense être des lieux, ne me son point familier. Le bateau à l'intérieur d'où je me trouvais a fait face-à-face avec une lame de fond. D'ailleur seule chose que je me souviens après la tempête, c'est vous accoté sur moi, à me verser de l'alcool dans la bouche.
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Nytil Ahès
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MessageSujet: Re: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptyVen 3 Sep - 15:59

* Cet homme confonds les dieux avec des lieux... D'où peu t'il bien venir, pour ignorer ces choses ? Tout enfant d'ici le sait.

Il vient donc bien de la mer, mais par bateau... Viendrait t'il de ... ? Non seul une personne ne peux connaitre le côté oublié ... Dans ce cas, s'il en vient, il ne pourra y retourner, du moins pas de la même manière et pas avant la prochaine nuit sans lune, qui n'apparaîtra pas avant cinquante ans. Je me demande s'il survivra dans notre monde, il a dû prendre un sacré coup sur la tête pour me confondre avec un ange, ces créatures n'ont jamais été créé par les dieux*


- Je me nome Nytil Llandra Ahès. Je suis une Célèste, je dirige un petit groupe de mercenaire que l'on appelle la garde.

Il serait préférable pour vous de ne plus faire ces erreurs, ce ne sont pas des lieux, mais nos créateurs.

Erayu, Aorus, Aluril, Henéor, Artor et Silmorh. Tout enfant d'ici connait la création. D'ailleurs elle date depuis trop peu pour que nous l'ayons oublié, il existe encore un des premiers céleste.


Elle se tue, il ne fallait pas trop en dire à quelqu'un qui était déjà sonné. De n'importe où qu'il aurait pu venir, l'ordre de la création devrait lui revenir à un moment ou à un autre.

Elle étira ses ailes, en prenant garde de ne toucher personne, une crampe l'a démangé depuis le début des échanges, bien que court la douleur était déjà agaçante.

Elle tira une chaise et s'assit, ses cheveux tombait en cascade devant elle et elle les repoussa derrière.

- Si vous avez encore faim ou soif dîtes le moi, quelqu'un que j'ai vu grandir lui-même et ses parents, ne peux pas me refuser de me servir sur des coups de tête. Et ne vous inquiétez pas de la somme, ça devrait aller.


Elle lui décocha un petit sourire.

Vous vous appelez Wallace c'est bien ça ? Ce n'est pas un nom très courant par ici... Messire ? Je suppose que c'est un titre. Maréchal en est un en tout cas si je ne me trompe pas.

Vous vous trouvez en Erraüs, dans la taverne du village de la région exactement. Plus au sud vous trouverez le désert blanc. Quant à moi je viens du Nord, tout à fait à l'opposé, enfin c'est un détail, ma ville n'est pas fixe. Mais je parle trop... Vous aviez une idée de l'endroit où vous vous rendiez ?

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MessageSujet: Re: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptyMar 2 Nov - 21:55

Où allais-t-il ? Je pense que je me rendais au Royaume de Swadia… J’avais l’intention de devenir un vassal au nom du Roi-Lion Harlaus… Ma tête est toujours un peu floue cependant, mais c’est avec joie que je prendrais plus de nourriture et d’alcool si ce n’est pas trop demandé.

Une idée d’où aller ? C’était un peu étrange de ce retrouvé dans un endroit inconnu et se faire demander où aller. Peut-être Wallace aurais de la chance et pourrais retrouver un peu de son équipement sur la plage, sans oublier que son armure était très abimé la maille était toute dérangé et il y avait-t-il une façon de revenir dans son pays ? Puis comment marchais ce pays, peut-être Wallace avait atterris dans les vastes Émirats de Sultanats Saranid, donc cela expliquerais les dieux païens. Sans oublier le fait qu’elle avait dit qu’au environ il y’avais un désert. Comment revenir dans son pays, très franchement Wallace n’en savais rien, peut-être s’il s’aventurait dans les landes Erraüs à la recherche d’un navire assez grand pour pouvoir le ramener à bon bord. Si un tel navire existais, y’aurais-t-il un prix, qu’est-ce que coûte justement les choses ? Wallace était très anxieux de ses questions, alors il s’arrêta un peu de réfléchir et posa ses questions à l’ange de la cervoise.

- J’ai des questions bien délicates… Y’a-t-il un système féodale ou bien un système monétaire ici ? Comment je vais payer ? J’ai des sesterces et dans mon bateau j’avais des livres pour la transition lors de mon voyage aux Royaume de Swadia… Qui est en charge ? Y’a-t-il des rois ou des empereurs avec lesquels je pourrais m’entretenir ?


Il prit un petite pause.

- Aussi, avant que j’oublie, où y’a-t-il des forgerons, j’en ai besoin d’un pour réparer mes armes et mes armures, je crains que la région des Émirats de Sultanats Saranid sois comme dans les légendes que ma grand-mère me recomptais ; des landes remplis de dragon-cracheur-de-feu et d’assassins du désert.
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MessageSujet: Re: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptyMer 3 Nov - 11:40

[désolée vue que le sujet était un peu vieux, j'espère avoir plus d'inspiration pour la prochaine réponse ]

<< J’ai des questions bien délicates… Y’a-t-il un système f?odale ou bien un système monétaire ici ? Comment je vais payer ? J’ai des sesterces et dans mon bateau j’avais des livres pour la transition lors de mon voyage aux Royaume de Swadia… Qui est en charge ? Y’a-t-il des rois ou des empereurs avec lesquels je pourrais m’entretenir ? >>

L'étange homme marqua une pause, se qui permis à la jeune Célèste de retourner ces premières paroles. Quel était donc le royaume de Swadia dont il parlait ? Venait t'il de plus loin qu'elle ne l'aurait pensé ?

<< - Aussi, avant que j’oublie, où y’a-t-il des forgerons, j’en ai besoin d’un pour réparer mes armes et mes armures, je crains que la région des émirats de Sultanats Saranid sois comme dans les légendes que ma grand-mère me recomptais ; des landes remplis de dragon-cracheur-de-feu et d’assassins du désert.>>

Elle ne savait pas trop par ou commencer, elle laissa le silence, le temps de remettre de l'ordre dans sa tête. Il y avait beaucoup de questions, ne voulant précipiter les réponses elle réfléchit calmement. Tout d'abord, comment expliquer simplement sur quel système marchait le pays ? Ce n'était ni courant, ni facile. Il était même étonnant d'être en temps de paix, cela n'était pas concevable dans la théorie et pourtant dans la pratique...

Pour commencer, ne vous inquiétez pas de l'argent, je m'en chargerais.
Pour continuer, comment vous expliquer. Le pays n'est actuellement sans aucun système. Enfin l'ancien vient d'être renversé, comme c'est tout récent, rien n'est encore en place et le plus étonnant fut que les révolutionnaires n'ont pas souhait ? Diriger le pays, on ne sait même pas ce qu'ils sont devenus.


Elle laissa le silence s'installer de nouveau, histoire que l'homme enregistre ces premières révélations. Surtout que dans le cas où il viendrait de loin, ou celui de la théorie du coup sur la tête l'ayant fait délirer. Que ce soit l'un ou l'autre, la réponse devait être lourde à assimiler. Il était clair qu'un pays en guerre, était moins effrayant que l'anarchie total, mais ce n'était pas vraiment le cas au final.

En fait, il reste les grandes familles, les guildes et les clans, ainsi que les sectes et religions. Chacun agis à sa manière. On peut en rejoindre un, ou le quitter. Mais chacun laisse des séquelles. C'est un peu compliqué je vous l'accorde, mais on s'y habitue et au final la vie des villages et des bourgs n'en semble pas plus changées.

Reprenant son souffle, elle avisa qu'il n'y avait pas d'utiliser de pousser le sujet plus loin. Elle repoussa furtivement une de ses mèches de cheveux, la plaçant derrière son oreille. Le reste de la réponse à donner était évidente.

Je ne sais de quels régions vous parlez. Mais il est vrai que la faune est imposante. Je ne vois pas en quoi ce sont des légendes, mais si vous le pensez... Mais pour réparer, même renforcer vos armes, je vous conseille de vous rendre chez les maîtres Nains. Ils ont de véritables doigts de fée quand il s'agit d'armes et d'armures. Ils en sont les meilleurs artisans, mais je ne pense guère que vous trouverez la route de leurs demeurent seule.

Elle sourit, elle avait bien compris la faiblesse de son hôte. Elle ajouta sur un ton amusé et malicieux :

Ce sont aussi les meilleurs brasseurs.
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MessageSujet: Re: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptyMer 3 Nov - 12:10

Donc le système féodale n’existais pas, il n’a pas de roi, il n’y a pas de nobles. Seulement des clans, qui se livrent la guerre contre les sectes religieuses. Une lutte pour le pouvoir, c’est attendu lorsqu’il n’y a aucun système établis. Wallace avais atterris dans un endroit en guerre, c’était bien sa chance, alors voyager parmi les rosiers et devoir choisir un clan, ne le réconfortais pas, surtout si les choses étaient comme dans les Royaumes de Vaegir et les clans ne sont que par famille et il faut se marier pour en intégrer un. Voyant son hésitation pour le voyage, l’ange de l’alcool lui dit que les nains n’étaient pas que des forgerons surdoués mais aussi des excellents brasseurs d’alcool. Alors là les doutes de Wallace s’estompèrent à la rapidité d’une flèche tirée par un archer Rhodock !

- C’est fort intéressant, peut-être aussi changer la constitution de mes armes pourrait aider si je dois un jour me mesuré à la faune des Émirats de Sultanats Saranid … J’ai entendu dire qu’ils avaient des métaux puissants.


Peut-être en chemin il trouverait un petit emploi, c’était son seul espoir pour revenir à son pays natal ou même être capable de boire alcool à aise … ah, et manger aussi. Si le voyage était périlleux, Wallace allais prendre une monture et assez de nourriture pour le voyage.
Donc Wallace se souleva avec peine du lit, ses jambes étaient toujours molles et cela prit un petit instant avant qu’il soit sur ses deux jambes avec l’envie de partir au loin. C’était là l’endurance et la force incroyable des hommes du nord, les gens du royaume d’Hallstatt. Wallace regarda avec attention la chambre, car ce serais probablement la dernière fois qu’il la verrait, car il était persuadé qu’il trouverait une façon de sortir des Émirats de Sultanats Saranid. D’ailleurs, il était aussi persuadé de partir seul vers la ville Naine, il pensa que le voyage serait long et probablement périlleux, cela lui rappelais du temps où il était toujours un fils de Maréchal…

- Allons, je ne vais pas prendre plus de votre temps pour se tailler une bavette aussi, indiquez-moi la direction et j’irais sans tarder.
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MessageSujet: Re: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptyMer 3 Nov - 18:32

"- C'est fort intéressant, peut-être aussi changer la constitution de mes armes pourrait aider si je dois un jour me mesurer à la faune des Émirats de Sultanats Saranid ... J'ai entendu dire qu'ils avaient des métaux puissants."

Elle sourit gentiment, elle ne savait pas vraiment de quoi il parlait. Ce nom qu'il répétait ne lui évoquait rien du tout. Par contre, il n'avait pas tort sur une chose, il y avait de bon métaux dans les pays nains. Même a penser qu'il en faisait la culture... mais c'était grotesque.

"- Allons, je ne vais pas prendre plus de votre temps pour se tailler une bavette aussi, indiquez-moi la direction et j'irais sans tarder."

Elle n'avait pas de carte sur elle, la manière de répondre n'était malheureusement qu'à l'oral. Et il n'était pas simple de traverser le continent quand il nous était étranger. Il fallait pourtant répondre à l'homme et le chemin le plus simple était celui des cieux. Mais impossible pour ce dernier de traverser par le ciel. Autant sur le plan physique que sur le plan monétaire. Car les montures volantes étaient hors de prix. Il n'y avait donc qu'un moyen:

Rendez-vous au sud, il faudra traverser le désert. Il est vaste mais,vous pouvez vous diriger avec les étoiles, et les lunes. Vous passerez devant le Bassin du désespoir. C'est une oasis, pas la suite le désert continue jusqu'à un cimetière. Rassurez-vous, ce n'est que des squelettes d'animaux. Par la suite, vous trouverez Daxryl, c'est un village mort. Continuez plus à l'est dans les Canyons. Enfin vous verrez apparaitre la mine d'Aulë, creusée dans la montagne, les mines naines se trouvent à l'intérieur. Là suivez un nain pour trouver sa ville.

Elle se tut, comme -ci un quelquonque souvenir venait de lui envahir l'esprit. Elle regarda l'homme et l'évalua profondément. Avait-il une chance d'arriver entier ? Elle n'en avait aucune idée. Il ne semblait connaitre rien d'ici, elle se demanda même s'il trouverait le sud. Probablement pas, déjà traverser le désert n'était pas une si mince affaire. Mais en même temps, la route était pratiquement tracée, si simple à suivre. D'accord à partir du canyon cela devenait un peu plus complexe. Mais la plupart des vivants ce monde trouvait le chemin seul...

Elle ne savait pas s'il avait remarqué son regard insistant, mais elle lui sourit tout de même gentiment au cas-ou.
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MessageSujet: Re: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptyMer 3 Nov - 21:00

Une telle traversé quelle avais décrite ne semblais pas une partie de plaisir, certes, mais est-ce que c’était peut-être le seul billet de sorti pour Wallace ? Fort probablement, qui sait ce qui se passera dans son voyage. Mais, il ne sait même pas où aller, peut-être il pourrait arrêter dans une petite ville ou même ici et prendre une carte pour se situer davantage et plus précisément.

Étrangement, ce sentiment de partir à l’aventure commençait à lui plaire, le sentiment d’être de nouveau au service du roi et partir dans les conquêtes lui manquait atrocement, peut-être effectivement c’était une chance qu’il soit envie, mais peut-être, il trouverait un travail agréable parmi son voyage. .. Pourtant un voyage seul, rien de plus ennuyant, se disais-t-il… Il n’avait aucune pièce de ce pays, donc pour se payé les services de mercenaire, il faudra revoir… est-ce qu’il y avait des mercenaires dans le pays ? Tant de question dans sa tête, il ne comprenait plu rien.

- Merci énormément de votre hospitalité, très chère. J’espère vous revoir bientôt sur les routes… et entant qu’ami. Dans mon pays lorsqu’on se quitte on dit : ‘que ton épée frappe pour la vérité et la sainteté.’ Je n’oublierais jamais votre gentillesse !


Wallace, avec un peu de mal, il sorti de la chambre en boitant un peu au début, les gens continuais à le dévisagé, il y avait des créatures humanoïdes avec des oreilles pointu et des humains avec des armures étranges, des vêtements toute sorte, leurs expression dans leur figure, n’est pas celui du paysans moyen des terres d’Hallstatt, qui revenais après une dure journée de labeur, prendre un coup, il semblais plus libre d’esprit, sans encombre… Ce pays semblait déjà très étrange, mais ont dirais que la mentalité l’est encore plus.

Avant de partir pour sortir, Wallace s’arrêta sec dans sa course, il réfléchit et à l’idée de demander de l’aide d’une femme il rougît de honte et essaya d’avancé, mais le sens commun le rappelais à l’ordre. Il retourna le regarde vers le visage de l’ange de l’alcool, il toussa un peu et Wallace lui demanda :

- … Est-ce que tu voudrais … bien m’aider… tu sais, m’accompagné ?
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MessageSujet: Re: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptySam 6 Nov - 10:34

- Merci énormément de votre hospitalité, très chère. J'espère vous revoir bientôt sur les routes... et entant qu'ami. Dans mon pays lorsqu'on se quitte on dit : 'que ton épée frappe pour la vérité et la sainteté.' Je n'oublierais jamais votre gentillesse !]


Que son épée frappe pour la vérité et la sainteté ? Drôle de dicton. Quant à elle, elle n'oublierais pas non plus cette étrange rencontre. L'homme présentait tous les attraits d'un total étranger aux terres d'ici, elle ne pouvait pas se cacher qu'il l'intriguait. Dans toutes sa vie, jamais elle n'avait vu, ou entendu parler de personne si étrangère. Le revoir ? Oui, elle espérait aussi le revoir, que ce soit sur les routes ou dans les villages, dans un meilleur état que leur première rencontre. Elle se prépara à se lever, la nuit commençait déjà à s'étaler paresseusement au dehors et il était temps de laisse l'homme profitait d'une nuit de repos.

Quand la voit de ce dernier coupa le silence qui commençait à se faufiler entre eux:

- ... Est-ce que tu voudrais ... bien m'aider... tu sais, m'accompagné ?

Quelle idée, elle avait du travail, elle avait des charges, du poids sur les épaules. Elle eu envie de rire à la question idiote. Cet inconnu n'était-il donc qu'un enfant sans cervelle ? Après tout quel question saugrenue. Et puis ne pas savoir accompagner quelqu'un, quelle idée idiote... La tournure de la phrase ne voulait rien dire en plus ! Bien l'aider ? Oui... en même temps aider mal quelqu'un ... Elle sourit en son fort intérieur. C'était une Célèste, elle était droite et consciencieuse. Et son travail l'importait avant toutes choses, surtout qu'il y avait du mouvement en ce moment dans le royaume. Elle avait eu vent de ce clan voulant réunifier le payer sous une seule bannière, prenant de l'importance. Elle devait en savoir plus, sans oublier le nombre de mission que son propre clan pouvait recevoir. Comme ci elle pouvait avoir le temps de se promener et taper bavette dans le pays. Autant louer les services d'une guilde de tourisme dans les pays montagneux...

Puis soudain la graine s'insinua dans son esprit, au lieu de la repousser, étrangement, elle s'en étonna elle-même. Elle la nourrit, la berça, la fit grandir. Elle lui donna même un nom et s'en délecta jusqu'à en devenir dépendante. Oui pourquoi pas après tout.... Cette idée était fort intéressante. Elle la retourna dans tous les sens. Jusqu'à ce qu'elle prenne bien corps dans son esprit

C'est d'accord je vous escorterais, cela me fera des vacances dans mon travail.

Etait-elle folle ? Certainement oui, elle venait d'accepter une chose qu'elle n'aurait jamais du et cela la rendait encore plus savoureuse.

Oui la folie est une maladie qui s'insinue dans l'esprit, en prend possession. Et joue avec malicieusement
.
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MessageSujet: Re: À la dérive (suite)    À la dérive (suite)  EmptyJeu 11 Nov - 14:19

Elle semblait très hésitante, un peu trop aux goûts de Wallace, il commençait à sentir coupable d’un tel questionnement, sans oublié que son visage criais quelle était très déstabilisé, peut-être Wallace avais dit quelque chose qui ne fallait pas dire.

Il avala la salive, les gens de la taverne semblais continuer à boire et à festoyer comme si rien ne savais passer, mais pour Wallace le temps s'avait arrêté et cela sentais le malaise à plein nez, comme s’il avait parlé de richesse devant une famille de pauvre.
Puis, du moment de malaise qui avais semblé des heures, elle sourit et répondu à Wallace de façon positive en hochant la tête vivement.

Elle avait accepté, étrangement il se sentait plus libre et heureux d’être accompagné par quelqu’un qui connaissais bien les Émirats. C’était étrange d’être accompagné par une dame d’une aussi petite carrure sans qu’elle ait peur de Wallace, c’était étrange pour l’ancien seigneur.
Donc, le duo parti vers les montagnes des nains.
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